Messages : 82 Date d'inscription : 05/02/2012 Age : 26 Localisation : Dans ton ombre
Feuille de personnage Eelut : Lie, un corbeau. Si vous le regardez dans les yeux, vos peurs les plus profondes ressortiront pour vous plonger dans les abysses de son plumage Âge du personnage : 26 ans Section: Spéciale
Sujet: Lewis ▬ Freedom Is A Lie Dim 20 Mai - 5:35
lewis howling
«Don't wanna be an American idiot. Don't want a nation under the new media. And can you hear the sound of hysteria? The subliminal mind fuck America.»
Nom • HowlingPrénom(s) • LewisSexe • Z'avez cru la vie c'était un kiwi?Âge • 26ansGroupes et rang : • anciennement SpéMétier • guitariste d'un groupe illégale
Pouvoir :pouvoir influencer les gens grâce a la musique (voix, guitare, autres. . .)Eelut : Lie, un corbeau • Pouvoir de L'Eeluts : Vous plongez dans vos peur les plus profondes Avatar • écrire iciCrédit • écrire ici, de la bannière/gif, des iconsjustify]
..IL ETAIT UNE FOIS.. ..IL Y A BIEN LONGTEMPS..
First Cage I Was Made Of Poison And Blood Condemnation is what I understood ♪
26 ans. 26 ans que je suis né, bordel. 26 ans que ça dure ce calvaire. 25 ans, que je rêve de liberté, que l’espoir qu’un jour la cage s’ouvre pour laisser mes ailes trop large se déployer enfin. Mais la cage ne s’ouvre jamais pour les oiseaux rêveur, ni pour les autres, même si l’on peut parfois apercevoir un bout de ciel sans nuages, dans lequel l’on rêve de voler. . .
Je suis née dans les banlieues de Manhattan, un coin où les gens normaux n’ont pas trop tendance à s’attarder en général. Ma mère n’avait jamais su de qui elle tenait son enfant. Il faut dire qu’elle ne gardait pas son trésor très avidement, et il n’y avait pas qu’un seul homme qui eut gouté a son « trésor » ces derniers mois. Et avec les moyens de notre familles, elle n’eut d’autres choix que de garder cet enfant qui pour elle ne représentait pas plus qu’une bouche a nourrir en plus. Ouais, la bouche a nourrir en plus c’est moi hein. Vous pensiez peut être que pour tout le monde, une naissance et un grand événement de joie, de convivialité, un évènement que tout le monde attend avec impatience ? Alala, vous êtes mignon ! Mais un moment donné, faut commencer à être réaliste. Quand on nait le dernier, il faut se battre pour garder sa part de bouffe sur les autres. Surtout quand on ne vient pas du même père. Un gamin né d’un adultère, peut être même de plusieurs, ce n’est pas toujours bien vue. Ouais, ma mère était mariée. Même si ça n’a pas toujours été agréable, c’est peut être ça qui m’a permit de garder mon sang froid jusqu’ici. On m’a toujours traité de batard et regardé de haute comme si je ne valais pas mes frère, du coup je m’en tape un peu maintenant.
« Pourquoi il est brun ?!! »
Recroquevillée dans un coin de la minuscule pièce qui nous servait de salon, une jeune femme sanglotait. Ses longs cheveux blonds d’habitude rayonnant comme le soleil semblait bien terne, son maquillage avait coulé sur ses joues pâles, humidifié par les larmes abondantes coulant sur son visage. Elle qui d’habitude était si belle et si sur d’elle semblait désormais bien frêle. Son mari l’attrapa par le poignet et l’obligea à se lever.
« Pourquoi il brun bordel de merde ?!! »
« J’en sais rien Jimmy, je te jure que je n’en sais rien ! »
Il la gifla, je serrai les dents. Du haut de mes quatre ans, j’étais loin de me douter de ce qu’il se passait. J’étais la cause de cette querelle qui n’allait que dans un sens. Depuis mon plus jeune âge, elle me l’a toujours dit, elle me l’a répété, me la gravé au fer rouge dans ma cervelles. Elle me regardait avec ses grands yeux gris, et me souriait de son visage creusé par l’amertume de sa vie de merde et par les années.
« N’abandonne jamais, ne baisse jamais la tête fasse devant ceux qui te regarde de haut, ne les laisse pas te couper les ailes, ne les laisse pas te cacher le ciel. Vole, de tes propres ailes, par tes propres moyens, et ne doit rien a personne »
Je l’ai toujours cru, je me suis toujours accroché a ces paroles qu’elle me répétait quand je pleurais recroquevillé devant la télévision, et que nul n’y faisais attention. Sauf elle. On aurait dit que seule elle me voyait.
Mes 12 première année furent d’un ennuie inimaginable. Je vivais au jour le jour, je n’allais même pas a l’école. On aurait dit que mon « père » avait tellement honte de moi qu’il ne voulait pas que je sorte de la prison qu’était pour moi notre appartement. Une cage. Ma première cage. Mais je ne disais rien, j’avais toujours vécu ainsi, c’était normal pour moi. J’étais sortit pour aller lui acheter de la bière, obéissant, docile, quand elle s’est présenté a moi. Cette vielle guitare aux bois abimé, au milieu des ordures, mais encore intacte. Elle était ma clé de sortie, la clé qui m’ouvrira les portes vers ma liberté. Du moins c’est ce que j’ai cru. Je l’ai ramassé, et ai gratté ses corde encore humide. Un frisson m’a parcourut quand les corde résonnèrent. Le son semblait se répercuter dans tout mon corps. J’ai toujours rêvé de liberté, mais jamais je n’ai cru l’obtenir un jour. Mais elle me l’a montré, a travers la résonance de ces cordes abimées. Elle m’a prouvé que je pouvais l’obtenir.
Rebbelion
Dans mon quartier, il avait plusieurs collégiens qui jouaient de la guitare. Ils m’apprirent. Oui, nous, on n’est pas comme dans votre société pourrie, on s’aide, on s’entraide plutôt. « Solidarité » vaut bien plus qu’ « argent » à notre gout. De l’argent, on n’en a pas et on en aura surement jamais, alors on s’en tape. J’ai donc commencer la guitare a 12 ans, bien que cela déplaise fortement a mon « père ». Mais je m’en tapais, il ne m’avait jamais traité comme son fils, alors pourquoi je le considérerais comme un père, hein ? Je passais de moins en moins de temps chez moi, je passais mes journée dehors, à jouer avec des mec que je ne connaissait même pas. Quand ma mère me demandait où j’étais sur mon téléphone, je lui répondais « quelque part ». Je m’éclatais, enfin. J’ai découvert qu’on n’était pas toujours obligé d’obéir. Malgré mon jeune âge, je m’étais vite intégré dans le monde de cette musique rebelle. Je jouais dans les bars de quartier pendant toute la nuit. J’appris même à tenir tête a mon connard de père. La première fois, il sembla même plutôt surpris. C’est une des périodes de ma vie que j’ai le plus aimée.
A 15 ans, j’avais créé un groupe avec des musiciens de mon quartier plutôt douée. On s’était trouvé une scène, et mes passages chez moi étaient rares. J’eu vite fait d’apprendre les plaisirs de l’alcool et de la liberté. Je chantais, je chantais la haine que j’avais au cœur depuis ma naissance, la frustration que j’avais accumulé jusque là. J’explosais sur scène, je déversais mes sentiments de rébellion sur la foule, je m’acharnais sur les cordes de ma guitare électrique qui m’avait coutée la peau du cul. Je vivais. Mes doigts avaient la marque des cordes creusées dans la peau. J’enchainais les petits boulots, je ne dormais presque pas. Mais c’est là que réside la véritable. liberté. « Ne dois rien a personne » qu’elle disait. Quand je rentrais chez moi le soir, elle me disait d’arrêter, que ce n’était pas cela la vrai liberté. Alors c’était quoi, pour elle, la vraie liberté ? Resté enfermée dans cet appartement puant, a se faire tyrannisé par son mari alcoolique ? Qu’elle fasse ce qu’elle veut, qu’elle gâche le peu de vie qui lui restait, moi non. Je ne retournerais jamais en arrière. Mes frères, eux n’avait pas changé d’attitude envers moi. Il savait, pourtant, que j’avais moi contrairement a eux décider d’aller de l’avant, il savait que j’avais mieux réussis qu’eux ma vie, alors que je n’étais qu’un batard. Mais il refusait tout simplement de l’admettre. Il continuait de me cracher dessus, et je m’en foutais royalement. Ca me faisait presque marrer.
« Tu va où, Lewis ? » me demanda Jimmy de sa voix dure et déformé par l’alcool.
« Je vais de l’avant, moi »
Second Cage Does the pain weigh out the pride ? And you look for a place to hide Did someone break your heart inside
Je me suis réveillé, un matin, ou plutôt une nuit. Des voix venant du salon, débattait sur un prix. Je me suis levé, encore habillé de mes habits de scène, la cravate détaché, le maquillage étalé autour de mes yeux, et les cheveux en bataille. Il était 4 heures du matin. Il y avait la voix de Jimmy et celle d’un autre homme, inconnu. Je poussai la porte, et avançai en silence dans le couloir. J’avais une putain de fièvre, ma tête me faisait mal. Tout semblait flou, et le couloir semblait interminable. Le monde semblait tourner, enfin, plus vite que d’habitude. Dans le salon, Jimmy discutait avec un homme habillé tout de noir.
« Partons sur 100 dollars » « Marché conclu » « Putain, Jimmy, qu’est ce qui se passe, je gémit, il est quatre heure du mat ! »
L’homme se tourna vers moi. Ma tête me faisait vraiment mal. Il avança et tendis une main vers moi. Je paniquai, j’eus un vertige. Je sentis des gens venir dans mon dos. Je n’aurais rien faire, dans cet état, de toute manière, hein ? Ils m’attrapèrent les bras et les bloquèrent dans mon dos sans plus d’explication. Je me débattis avec force mais le résultat n’eut que le gain d’un coup de poing décoché en plein dans la face. Je sentis que j’allais perdre conscience, je regardai encore une fois Jimmy, dans l’espoir d’un quelconque secours. Innocent jusqu’au bout. C’était lui qui m’avait vendu, je le savais, mais je ne voulais tout simplement pas y croire.
« Je fais comme toi, Lewis, je vais de l’avant »
Salaud.
Quand j’ai rouvert les yeux, c’était déjà trop tard. La cage s’était déjà refermer sur moi, telle la bouche d’un monstre. Et c’était mon propre père qui m’avait précipité dedans. Quel tableau pitoyable n’est ce pas ? J’avais tout perdu, mes amis, ma guitare, mon groupe, et même cette jolie Anah qui m’avait promis de venir me revoir a mon prochain concert. Autour de moi, des hommes qui semblait m’observer comme un animal. Il discutait de chose dont je ne comprenais rien. Je leurs ai demandé plusieurs fois ce qu’il se passait, mais aucun ne me répondait. Il semblait prendre mes questions incessantes pour des gémissements d’un animal de laboratoire. Je ne m’étais jamais sentit aussi proche du rat de compagnie que j’élevais dans ma chambre. J’étais trop faible pour faire le moindre geste. Il m’avait drogué comme on drogue un animal sauvage. Et puis, ils ont débuté leurs expérience. Elle était plus douloureuse les unes que les autres. Comme je ne pouvais hurler, je pleurais. De douleur. De souffrance. J’avais tout perdu. Mes ailes, on ne me les avait pas attachés, on me les avait brulé. Alors que je croyais enfin m’en sortir je re-sombrais. Je ne sais pas combien de temps j’ai passé dans ce lieu. J’ouvrais les yeux avant sombré dans l’inconscience à nouveau. Parce qu’il n’avait pas les résultats qu’ils souhaitaient, je souffrais et ils continuaient leurs tortures. J’étais persuadé que j’allais mourir ici. Les marque de seringue dans ma peau se multipliait de jours en jour dans mes bras, ma peau devenait aussi pale que celle d’un mort. Puis un jour, ça a cessé.
L’abandon, un échec pour certain, un soulagement pour d’autre. Pour moi par exemple. Fa dépend d’où on est placé. Je fus intégré dans un lycée pour le moins étrange. Une prison. Une cage. Même le ciel était couvert par du verre, pour nous empêcher de rêver ? Une prison, où d’autres adolescents comme moi enlevé ou vendu se développaient dans l’insouciance. Intensive Training.
Comme je n’avais aucun pouvoir, on m’apprit à me servir d’armes à feu. Mon enfance passée dans des banlieues américaines me rendait plus résistant. J’étais capable d’abattre des dizaines d’hommes de sang froid, j’étais élevé ainsi. Mais je n’était pas docile comme les autres, je cherchais sans cesse a m’enfuir, je ne dormais pas, je n mangeait presque pas, je séchait les cours. Je voulais partir. A tout prix. Certains de mes amis me disait « Laisse tomber c’est impossible. » Nan, c’est resté ici qui était impossible. Alors j’ai essayé autre chose. Le suicide. A plusieurs reprises, j’ai tentait de mettre fin a mes jours. Je me suis tranché les veines, ils les ont recousu, j’ai tenté de me noyer, ils ont réussi a me sauver. Il n’y avait donc vraiment aucune échappatoire ? Je fus enfermé, considéré comme fou et suicidaire. Suicidaire, je ne sais pas, mais fou, je l’étais bien moins que tout les autres, a accepter leurs sort pitoyablement. Il me fallait de l’air, j’étouffais, dans cette pièce immaculée. Il n’y avait qu’un lit, quatre murs et un miroir. Pour que je puisse voir quel monstre je suis devenu ? Et dans ma poche, un marqueur. Noir. J’ai écris, j’ai écris sur les murs, des paroles de chansons parlant de liberté. Et quand je n’eus plus de place, que j’eus vidé toute l’encre mon inspiration, je me suis regardé dans ce miroir. C’est ainsi qu’est apparu Lie. Il est mon reflet, matérialisé. Je l’ai vue, je l’ai compris et il m’a compris. En réalité, leurs fucking expériences de merde avaient marchée.
Quand ils l’ont appris, je suis sortit de ma cellule de suite. J’étais las, tellement las. Je voulais seulement que ça s’arrête. J’ai re-subit leurs vingtaine de test de merde, et ils ne trouvèrent rien. Puis, un soir, l’on fit venir à ma chambre une guitare. Je ne me suis pas posé de question. J’ai joué, j’ai joué, j’ai joué a m’en arraché la peau des doigt et pour la première fois depuis 1 ans que je suis ici, j’ai souris. Mon passé m’est revenu en flash, mes pleurs, mes rires. J’ai joué, encore et encore, j’ai chanté, jusqu'à l’aube. A l’aube, ils sont venus, ils ont défoncé ma porte et mon arraché ma guitare. Il avait trouvé mon pouvoir. Il avait réussi, et j’avais échoué.
Malgré ma défaite, je n’abandonnai pas. Je voulais sortir. A tout prix, encore une fois. Et je réussi. A 19ans. Ouais, j’ai passé 3 ans dans cet endroit de merde. Mais peu importe. Car j’ai réussi à en sortir. J’avais tout essayé. J’étais désespéré, mais je n’abandonnais pas. J’avais volé une camionnette, et je traversai le centre à toute vitesse. Enfin, j’arrive devant le dernier obstacle qui me séparait de la liberté. Une grande porte de métal, infranchissable si fermé. Je m’arrête, et je descend de la camionnette, mitraillette a la main. Mais aucun tir ne vint m’accueillir. Juste un homme.
« Tom ? »
Tom, mon ainé, celui qui m’avait appris la guitare, qui m’avait appris à vivre libre. Il m’avait tout appris. Et je le retrouvai désormais du coté de ceux qui m’avait tout pris ? Je baisse mon arme, bouleversé. Et l’immense porte de fer s’ouvrit. Je fut étonné par le manque de soldat la gardant.
« Fonce, mec, t’arrêtes pas. Un hélico t’attend un peu plus loin. »
Je n’en crus pas mes oreilles. Ce que je me tuais a gagné depuis 5 longues années, on me l’offrait sur un plateau. Je ne pouvais pas le réaliser, c’était trop facile. Mais je n’avais pas le temps de réfléchir. Je redémarre, je fonce à travers la jungle. Comme prévu, il ya avait un hélico un peu plus. Mais ce ne fus pas un accueil très chaleureux qui m’accueillit. Mais un coup de sur la tête. Lorsque je rouvris les yeux, j’étais étendu sur un lit, dans un hôtel californien. Je ne me souvenais de rien, j’avais un horrible mal de crane, mais j’étais sortit.
J’eus vite fait de me trouver un boulot, de me racheter une guitare et de me trouvé un nouveau groupe. Je ne retrouvai jamais mon ancien groupe, qui semblait avoir disparu dans la nature. J’enchainais les concerts. Je retrouvais l’euphorie d’autrefois, lorsque je jouais dans les bars de quartiers. Notre groupe se fit vite un public, nous enchainions enregistrement, concert, tournée et de nouveau enregistrement. Je changeais sans cesse de petite amie, je buvais. Mais j’étais heureux car j’étais libre. Je faisais enfin ce que je voulais faire depuis si longtemps. Chanter.
She She's an Extraordinary girl In an ordinary world
C’était lors de ma 3em tournée. J’étais à Hawai le temps d’un concert. Elle aussi. Je ne sais pas si c’est réellement le fruit du hasard. Je m’en fous de toute manière, maintenant. On s’était tous défoncé pour ce concert. Le public était ravi, et plus il criait plus on se défonçait a vouloir jouer plus fort. Ma gorge me faisait mal tellement je chantais fort, et mes doigt était de plus en plus douloureux à force de gratter les corde de ma guitare. Mais toute cette douleur n’était rien comparée à l’extase que je ressentais en voyant la foule hurler devant nous. La musique était tellement forte que je la sentais exploser dans mon ventre et faire trembler la scène. C’était juste fantastique. Intensive Training n’était pour moi plus qu’un mauvais souvenir, et je n’avais plus revue Lie depuis. Et puis il y avait elle. Je l’ai vue dés qu’elle entré dans la salle de concert. Petite fille rêveuse, d’une vingtaine d’année pourtant. Je l’ai vue dans ses yeux, ses yeux d’enfant reflétant pourtant une grande maturité. Ses boucles noires coulaient sur ses épaules comme une rivière d’eau sombre. Tu rêvais de liberté toi aussi, hein ?
Pay attention to the cracked streets and the broken homes, Some call it the slums some call it nice, I want to take you through a wasteland I like to call my home, welcome to Paradise!
Après le concert, on se dirigea tous vers une boite de nuit, assez grand pour accueillir le tiers de notre public. La foule s’engouffrait comme des moutons dans le bâtiment ou la musique semblaient faire exploser les murs. Les fans se pressent contre nous, nous arrache des autographes, nous hurle des déclarations bâclées. Je signe des autographes à tour de mains, souriant, ravi. Quand soudain de la vois. Immédiatement, je me détourne de mes fans, pour me diriger vers elle. Alors qu’elle s’accoude au bar, je vins m’asseoir a ses coté. Elle me regarde, plongeant ses grand yeux clair dans les miens, noir. Je lui souris. « Une jeune fille innocente comme vous ne devrait pas trainez dans une un bar de rebelles comme celui-ci » Elle me sourit aussi. « Qui vous dit que je ne suis pas une rebelle dans l’âme ? » « Intuition » Elle me dévisage et pose sa tête dans ses mains. « Ne vous fiez pas aux apparences, ça peut être assez dangereux. » J’eus un petit rire amusé, et lui répondit avec un sourire charmeur. « Et moi, mon apparence vous suggère quoi ? » « Que vous êtes en train de me draguer » Je souris de plus belle. Je m’amuse, vraiment. Des femmes comme ça, on n’en rencontre que rarement, le groupe et moi. En général, ils leurs suffit de savoir combien nous gagnons pour décidé si elles sont charmées ou non. « Et ça ne marche pas ? » Elle regarde en l’air, semble pensive avant de me répondre : « Plutôt pas mal » Je ne réponds pas, me permettant un faible sourire, afin de la laisser s’interroger sur ma réaction. Finalement, je fais signe au barman de nous servir de whisky. On parle mieux quand on est soul (comme dirait un certain Pancake o/). Elle le saisit sans me quitter des yeux et le porta à ses lèvres, tandis que pour ma part je le buvais d’une traite. « Et cette jolie chose a-t-elle un nom ? » « Rosaly » Rosaly. Comme les roses. Les roses . . . ça pique les roses. Mais peut importe que cela pique ou non. Il suffit que mon regard effleure tes lèvres pour que ça n’importe plus. « Et sinon, elle me demanda, tu fais quoi dans la vie ? » Ok, elle se foutait de ma gueule. Elle venait me voir chanter devant un public de plusieurs de milliers de personnes et elle me demandait ce que je faisais. « J’suis astronaute, répondit-je du tact au tac, j’emmène les jolie filles voir la lune . . . ou les étoiles, et je joue de ma gratte rien que pour voir le reflet des astres se refléter dans leurs beaux yeux. » « Et moi, tu m’enverra voir la lune ? Ou les étoiles ? » Je m’approchai de son visage et murmura à son oreille. « Peut être bien les deux » Je me recula a la seconde suivant mon avance vers la jeune femme. Même si elle ne laissa rien paraitre, je remarquai que ses joues avait rosit depuis tout a l’heure. L’alcool ? Ou non ? Je ne suis pas un amateur en matière de drague, darling. Je sais exactement ce que je fais. Je re-commande un verre, elle fait de même. On but tout les deux d’une traite. J’avais la tête qui tournait de plus en plus. Je n’ai jamais vraiment tenu l’alcool, mais j’aime tellement ça, bon je ne suis pas un alcoolique non plus, pas comme un certain Jimmy, ehrm. Elle ça ne semble pas la déranger. Inconsciemment, je commence a chantonner, les yeux mis-clos, ce qu’il me passe par la tête.
Son rire interrompt ma chanson, je rouvre les yeux, et je lui souris.
« Tu aime ? »
« C’est sympa, tu compose ? »
« Pas ce genre de chose en général, je m’étonne moi-même à vrai dire »
« Elle parle de quoi, alors, tes chansons »
Je la regarde longuement avant de répondre.
« De liberté »
« Montre-moi. »
« Quoi ? Les étoiles ? »
Elle me donna une tape sur la tête.
« Tes chansons, idiot »
« Ah, mais je les ai pas sur moi là »
« Je m’en fiche, montre les moi »
« T’a pas peur de te faire enlever ? »
« Si c’est par toi, je m’en fiche »
Je lui souri (FUCKING SMILE OF BILLIE JOE YEAH ! /PAN/). P’tain, je me demande combien de fois je lui ai souri ce soir là. Je ne suis pas un type facile d’habitude. Nan, je ne le suis toujours pas d’ailleurs, c’est juste que . . . j’avais envie de lui sourire, merde. J’fais ce que je veux de toute manière nan ? Je la prends par la taille et l’invite à sortir du bâtiment secouée par la musique. Sur notre passage, des murmure fuse, je sens des regards emprunt de jalousie se posé sur nous. Alors que nous traversions la piste de danse pour rejoindre la sortie, une jeune femme blonde vint se presser contre moi. Je ne la connaissais pas, mais elle semblait plutôt bien me connaitre.
« Alors Lewis, tu viens jouer avec moi ? Laisse tomber cette brunette et viens plutôt t’amuser avec moi, je connais des tas de jeux fantastique »
Je m’approchai de son visage et lui adressa un sourire charmeur.
« Ah ouais ? Et bien ça ne m’intéresse pas pour le moment, petite. »
L’expression dragueuse qu’affichai son visage quelque secondes plus tôt s’évanouie aussitôt, tandis que je me reculai en rigolant. Je ne pris même pas la peine de regarder sa réaction, déjà je m’en allais. Quand nous furent sortit, Rosaly vint me prendre par le bras. Eclairé par les réverbère, bras dessus bras dessous, nous marchions en direction de mon hôtel. Remarquant qu’elle frissonnait, j’enlevais mon blouson de cuir et lui mit sur les épaule.
« Merci, monsieur, vous êtes un véritable gentleman, fit elle ironiquement »
« Je suis là pour ça, mademoiselle »
« Tu veux pas me porter aussi ? »
« Faut pas abuser quand même »
Elle ne répondit pas mais un sourire amusé vint apparaitre sur ses lèvres.
« C’est là. »
« Et ben, tu te fais pas chier hein »
Ce fut sa réaction en voyant l’immense hôtel que j’occupais. C’est vrai pour moi c’était la routine, mais pour certain, ça pouvais être assez impressionnant. Je ne lui répondis pas, me contentant d’un petit rire amusé, avant de pousser la porte vitrée de l’hôtel. A cette heure-ci, le hall était désert, si l’on ne comptait le réceptionniste qui s’inclina quand je passai devant lui. J’accompagnai mon invitée jusqu'à ma chambre où après avoir insisté plusieurs fois pour ouvrir la porte, je l’invitais à entrer.
« Madame, si vous vouliez bien. . . »
« C’est mademoiselle. »
Ah. Ok.
« Tu m’excuseras le rangement pour le moins bordelique, mais je ne m’attendais pas à recevoir de la visite, tu vois »
Elle ignora ma remarque et s’aventura dans mon univers de feuille griffonnée, de marqueur vide, de partition gribouillé et de crayon éparpillé. Elle passa près de mon bureau, pris un tas de feuille et commença a le feuilleter.
« Vous êtes arrivés il y a combien de temps ? »
« Deux jours. »
« C’est incroyable que tu arrive à mettre autant de bordel en si peu de temps »
« C’est dans ma nature »
Elle n’eut qu’un faible sourire, absorbé par la lecture des paroles de notre prochain album qu’elle venait de trouver. D’abord, je me mis en tête d’attendre qu’elle est fini, mais quand je la vit d’asseoir sur la chaise de mon bureau en continuant de lire, je me dis que ça allait surement durer pas mal de temps et entreprit donc de gratter frénétiquement les corde de ma guitare. 10 minutes plus tard, j’étais complètement assoupi, affalé sur le canapé, la guitare encore dans les bras en une étreinte . . . musicale.
Rosaly termina sa lecture une bonne demi-heure plus tard. Elle reposa les feuilles pleines d’écriture sur le bureau, ou plutôt sur le tas d’autre feuille et partition qui y était entreposé en une montagne d’une trentaine de centimètre.
« Ça y est, j’ai fini, fit elle a l’attention du guitariste, sans se tourner vers lui »
Elle attendit quelque instant et n’ayant pas de réponse, elle continua.
« Tu es plutôt douée, j’aime beaucoup comment tu écris »
Silence.
« Lewis ? »
Bon, si même les flatteries ne le faisaient pas répondre, c’est qu’il y avait un truc. Elle fit donc tourner la chaise de bureau sur laquelle elle s’était assise pour faire face au jeune homme. Effectivement, il y avait quelque chose. Le guitariste dormait paisiblement, la guitare encore dans les bras. Bon, certes, la jeune femme avait remarqué que la douce mélodie de son instrument s’était arrêtée depuis déjà un petit bout de temps, mais de la a croire que le chanteur qui faisait quand même des concerts toute la nuit (on a tendance a l’oublier) s’était endormi si facilement. . . Elle s’approcha doucement de la Belle au Bois Dormant, et tenta de le réveiller, sans le brusquer pour autant. Mais Lewis ne semblait pas vouloir se réveiller. La jeune femme, exaspérée s’assis sur le sofa, à coté de lui, et le contempla, n’ayant pas vraiment d’autre choix. Soudain, une envie folle la prit. Elle se pencha sur le jeune homme, et approcha ses lèvres des siennes. Après tout, il dormait, et puis, elle faisait ce qu’elle voulait. Elle était libre, dénuer de chaine. Alors oui, elle pouvait faire ce qu’elle voulait à ce moment là, non ? Malheureusement pour elle, le musicien ouvrit les yeux soudainement.
« Bouh. »
La jeune femme sursauta et s’éloigna brusquement, tandis que Lewis commençait à être pris d’un fou rire incontrôlable.
Je me redressai difficilement, toujours saisi par un fou rire horriblement tenace, alors que Rosaly semblait plutôt vexée. Oui, je suis un gamin, mais je n’avais pu m’en empêcher.
« Tu es fier de toi, vraiment ?fit elle d’une voix glaciale »
Je tentais vainement de calmer mon rire incontrôlé, tandis qu’elle me tournait le dos. Je m’approchai d’elle.
« Allez, Rosaly, c’était pour déconner. . . »
Je n’eus le temps de finir ma phrase, qu’elle se retourna vivement et plaqua ses lèvres sur les miennes, passa ses bras pale à mon cou et referma ses main sur mon crane. Quand elle se décolla pour reprendre son souffle, elle planta son regard profond dans le miens.
« Tu sais chéri, quand je désire quelque chose, je l’obtiens toujours. »
Complètement sous le choc, je ne pus que lui sourire, alors qu’elle embrassait de nouveau mes lèvres embrasées par son corps contre le mien. Ses mains caressait ma chevelure ébène avec ardeur tandis que les miennes enlaçait sa taille. Entre deux baisers, elle me glissa à l’oreille.
« Je ne suis pas un chaton, chéri, je suis une tigresse »
La suite n’est pas pour les enfants.
GOOD BYE HONEY ♫
J’avais dormi comme une masse. Non, je n’avais . . . pas dormi du tout en fait. Nous n’avions pas dormis était encore plus juste. Non, nous avions passez la nuit à nous débattre dans ces drap de satin, a s’échanger des baiser langoureux et j’en passe. Le soleil filtrait à travers les rideaux, illuminant son visage endormi. Je caressai son visage d’une main tendre. Je n’avais jamais ressenti ça pour une femme. D’habitude, elles n’étaient pour moi qu’un amusement d’une nuit, un passe-temps comme un autre, destinée à me divertir. C’est plutôt rare de ressentir un profond attachement pour un jouet, non ? Néanmoins, j’étais heureux. Etrangement heureux. Je dégageai une mèche de cheveux qui tranchait son visage, caressai a nouveau ses joues avant de descendre sur ses épaule. J’embrassai ensuite ses joues avant de me lever difficilement. J’avais mal partout, putain. Je fis craquer mes doigt, puis mon dos et enfila une chemise noir et un jean. J’avais une putain envie de fumer. Je regardai une dernière fois mon « amie » endormie et pris mon paquet de clopes et mon briquet que j’avais laissé trainer sur la table de nuit. Ce fut la dernière fois que je l’a vis. En mettant ma main de ma poche, je tombai sur une feuille plié en quatre. Je la sortis et la lue en diagonale. C’était une chanson. Une chanson que j’avais écrite pour Rosaly tandis qu’elle lisait mes autres paroles. J’avais complètement oublié de lui donner. ET je n’avais pas envie de la réveiller maintenant. J’eus pendant un bref instant une petite hésitation entre la lui mettre dans une poche de son manteau pour lui faire la surprise plus tard ou alors attendre que je revienne pour lui donner. Malgré mon impatience et mon envie de voir sa réaction lorsqu’elle lira ces paroles, je choisis la première option et glissa la feuille dans sa poche, avant de pousser la porte de notre chambre avec nonchalance. Mon corps était entièrement courbaturé à cause de cette nuit trop . . . mouvementé. Je descendis dans le hall, étrangement, le réceptionniste n’était pas là. Je ne prêtai pas attention a ce détail et sortit dans la rue, alluma une de mes clopes et la porta a mes lèvre. J’inspirai une grande bouffée de fumée avec plaisir quand je vis arriver un groupe d’homme, baraqué comme tout, costard cravate noir et portant des lunettes noires. Je le sentais pas, dés le départ. Il s’arrête devant moi. E c’est là que je compris.
« Alors comme ça, vous m’avez retrouvez ? »
Le coup que je reçu faisait office de oui. A chaque fois que je rencontre des mec d’Intensive Training, ça finit comme ça.
Rosaly ouvrit les yeux, et roula sur le coté pour venir se presser contre son partenaire. Partenaire qu’elle ne trouva pas, juste la place de celui-ci, froide. Plutôt déçue elle se redressa, mais ne vit pas le jeune guitariste. Il devait être dans la cuisine, en train de lui faire deux trois truc. Un vrai gentleman, celui là. A vrai dire, elle commençait peut être . . . a tomber amoureuse de lui. Mais que racontait-elle ? Elle était libre, pas question de s’encombrer avec un idiot de mari. Les hommes ne sont qu’une drogue, un plaisir, il ne serve qu’à ça. Elle s’était bien éclaté, cette nuit, c’était déjà ça.
« Lewis ? T’es déjà debout ? fit elle t’elle d’une voix embrumée par le sommeil tandis qu’elle récupérait ses vêtement éparpillés sur le sol »
Pas de réponse. Mais Rosaly ne s’inquiétait pas. Il lui avait fait le même coup la veille, et vue son immaturité, il n’hésiterait pas a recommencer. Elle s’habilla sans que l’ombre d’un doute sur la présence du jeune homme ne vienne embrumée son esprit.
« Lewis, s’est pas drôle »
Oh non, ce n’était pas drôle du tout. Elle se dirigea vers la cuisine. Vide. La salle de bain. Vide. L’inquiétude commençait a prendre son ventre. Mais un moment, il faut se rendre à l’évidence. L’appartement était vide. Même si c’est affaires était encore là, Lewis ne l’était plus. Il était partit, avait abandonnée sa belle. Des larmes de rages commencèrent a couler sur les joues de la jeune fille. Elle se laissa tomber sur le canapé, furieuse de s’être fait avoir. D’habitude, c’était elle qui larguait les mecs, pas l’inverse. Et maintenant, elle comprenait combien c’était douloureux.
7 ans plus tard, Lewis s'était reconstruit. Enfin, il avait fait tout pour se reconstruire, et pour oublier cette jeune femme qu'il ne reverrait jamais plus. Le seule moyen qu'il avait retrouvé pour se faire était le même que pour tout ce qu'il avait du reconstruire: la musique et la flamme rebelle qu'abritait son cœur. Désormais retenue captif dans le centre, il a néanmoins pris la liberté de fonder un nouveau groupe, son 3em, dans l'espoir de faire de réveiller l'étincelle de rébellion qui dormait en chaque étudiant, afin qu'un jour, ils puissent sortir de cette prison de verre. Leader d'un groupe de rock, il joue maintenant a quasiment chaque nuit, organisant des concert en ville. N'abandonne jamais. . .
[justify]Ton prénom ou surnom • AppleTon âge • 14ansQue penses-tu du forum ? • MOLLI MOLLO/PAN/ Nan, je déconné, il est chouette! : ) T'es arrivé là comment ? • Grace a un Pancake CODE n°1 Pancaké ! • CODE n°2 : Pancaké too par le Pancake !
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Lana
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Sujet: Re: Lewis ▬ Freedom Is A Lie Dim 20 Mai - 22:24
Peupeul a écrit:
La suite n'est pas pour les enfants.
Rooh. //SBAAF// Bon, d'accord.
Welcoooome Apple ! (si c'est pas toi, c'est ton clône :O) Ta prés' est géniale *-* Surtout ton histoire. Rosaly ! ♥ Dis-moi que j'ai bien compris et que Lewis est le pôpa de Pan ! J'aimerai annoncer que tu es validée, mais il me manque une petite chose : qu'est devenu Lewis, pour être dans les Pro. Divers ? Prof de musique ?
Voilà, c'est juste ça. Sinon, encore bravo pour cette prez magnifique *o* En plus, y a Green Day, donc c'est encore plus génial.
PS : Ici L'ilnette de TDLFR à l'appareil ♪
Pan
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Sujet: Re: Lewis ▬ Freedom Is A Lie Dim 20 Mai - 23:37
Oh Sreugneugneu c'est Moa qui voulait valider è___é.
Donc, oui, Daaad ! Moi perso, je crois t'avoir tout dit au sujet de ta prez. Je la trouve vraiment superbe, et c'est comme si j'y étais vraiment, avec Rosaly & Lewis. Je suis fière de t'avoir prêter mon personnage, et de t'avoir put t'aider pour cette partie, c'est sublime. Donc euh, ouais, tu pourrais rajouter ce que Lana a dit, mais en fait Brunette, Lewis il squatte Intensive Training, il a pas de statut. o/ Pour moi tout est ok également. : )
J'ai hate de pouvoir Rp avec toi.
Lewis Howling
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Sujet: Re: Lewis ▬ Freedom Is A Lie Lun 21 Mai - 6:09
Dooooonc, j'ai corrigée les erreur au niveaux temporel (les dates etouw) donc ça devrait être bon.
Et comme l'a dit Pan, Lewis est trop vieux pour étudier, néanmoins je suppose qu'Intensive Trainning ne peut pas le laisser dans la nature du coup ils le gardent captif.
D'ailleurs, je voulais savoir si il était possible au sein d'IT de pouvoir faire des concert en secret en ville?
Wallaaaaaaaaaaaaaaaaa! ♥
Diana Luyen
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Sujet: Re: Lewis ▬ Freedom Is A Lie Lun 21 Mai - 7:20
Citation :
« J’suis astronaute, répondit-je du tact au tac, j’emmène les jolie filles voir la lune . . . ou les étoiles, et je joue de ma gratte rien que pour voir le reflet des astres se refléter dans leurs beaux yeux. »
OMG !
Lewis . . . Je t'aiiime Superbe présentation, superbe personnage. La Première Impression n'est jamais la bonne, j'ai été séduite par l'histoire du guitariste rebelle o/ Diana pourra être son élève ? Now, c'est moi qui te supplie de faire un RP avec moi !
Je sais pas quoi te dire tellement c'était beau... OMG Tu me fais adoré les musiciens punk-rebelle, fans de Green Day
Edit : Merde Lewis, je peux plus me passer de Green Day maintenant
Céleste Pithie
So mysterious...
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Sujet: Re: Lewis ▬ Freedom Is A Lie Lun 21 Mai - 8:50
Tsss.
C'est moi son élève è_é Et c'est mooon Lewiiiis que j'aimeuh Et même que Céleste en est aussi amoureuuuseuh u.u
Pis d'abord moi j'ai des mains qui mesurent 17, 5 centimètres, et TAC è_é *sort*
Lewis Howling
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Sujet: Re: Lewis ▬ Freedom Is A Lie Lun 21 Mai - 9:04
Hé ho, vous battez pas! o/
Didi: Owiiiii, ze veux rp avec toi, et merci pour tout ces complìments, c'est trop X.x
Riris: ma n'élèveeeeuuuh! Merci itouw, j'ai hate de rp avec Celestie!
Edit: Didi, je ne le répèterais jamais assez, Green Day est ze groupe of the century, c'est une drogue dont l'on ne peut se passer. VIVE GREEN DAY
Diana Luyen
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Sujet: Re: Lewis ▬ Freedom Is A Lie Lun 21 Mai - 9:21
Tu crois que je fais quoi là Lewis ? (Je me drogue à Green Day au cas où tu n'aurais pas deviné. D'ailleurs ça me donne trop envie d'aller au concert ) En écoutant Green Day et en voyant Billie Joe, je pense trop à toi *-* Et j'accepte le RP quand tu veux mon chou
Cadeau :
Spoiler:
Lewis Howling
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Sujet: Re: Lewis ▬ Freedom Is A Lie Mar 22 Mai - 2:56
Owh! Merci Didi! ♥
Sinon, j'ai rajouté un paragraphe dans l'histoire pour préciser ce que fait Lewis a Intensive Training : ) J'éspère que tout est bon <33
Céleste Pithie
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Sujet: Re: Lewis ▬ Freedom Is A Lie Mar 22 Mai - 4:24
Bouuuh, j'ai une meilleure idée ; un RP à nous trois vous, les deux adultes, vous vous moquez de Céleste parce qu'elle est amoureuse de Lewis !!
Lewis Howling
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Sujet: Re: Lewis ▬ Freedom Is A Lie Mar 22 Mai - 4:28
Et Pan qui tire les cheveux de Celestie parce qu’elle est jalouse o/ Bref, stop flood
Pan
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Sujet: Re: Lewis ▬ Freedom Is A Lie Mar 22 Mai - 4:38
Bon, et ben je crois que tout est bon, My Dad. A nous les rps ; ) Je te valide !
Diana Luyen
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Sujet: Re: Lewis ▬ Freedom Is A Lie Mar 22 Mai - 4:41
Maybe Diana will laugh, but she will not laugh of Céleste.
Okok stop le flood. ONE ! TWENTY ONE GUUUNS !
Lewis Howling
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Sujet: Re: Lewis ▬ Freedom Is A Lie Mar 22 Mai - 4:42
Merciiii ma fifiiiillleuh! <33 Allez, fais un bisous a ton popa *out*
Pan
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Sujet: Re: Lewis ▬ Freedom Is A Lie Mar 22 Mai - 4:43
*fais un bisou à son popa*
Merci stop flood les filles hein ^^. Les rps ça se règle pas dans les prez . ^^'
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Sujet: Re: Lewis ▬ Freedom Is A Lie
Lewis ▬ Freedom Is A Lie
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