Des enfants ultrasensibles génétiquement modifiés pour le combat.
 
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 Pan ♪

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Pan


Pan
CO-FONDA ★ Tears are dangerous

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Feuille de personnage
Eelut : Do, un petit renard noir
Âge du personnage : 7 ans
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MessageSujet: Pan ♪   Pan ♪ Icon_minitimeSam 14 Jan - 9:59

Pan

-La liberté est un oiseau. Cet oiseau est en cage-


Pan ♪ 67603724ll
    -NOM : Gweenlady, bien que je fais semblant de l'avoir oublié.

    -PRENOM : Pan.

    -SURNOM : Tu ne trouveras pas plus court.

    -SEXE : Je suis un garçon. Nan, je rigole. Une fille, idiot !

    -ÂGE : 7 ans, rien que ça.

    -GROUPE : Spécial et Primaire.

    -RANG : Je vais le mijoter ^^. On verra plus tard.

    -POUVOIR : Lorsque mes larmes coulent, lorsqu'elles touchent quelque chose mis à part moi bien sur, ou mes vêtements, elles commencent à la désintégrer plus ou moins rapidement, quelque soit la chose. Vivante ou non. Pour dire vrai, je suis vraiment surveillée à ce niveau par ces crétins de scientifiques, qui ont déduits que plus ma tristesse, douleur est grande, plus le pouvoir des larmes est fort. En revanche, lorsque je suis dans un état de colère fou, ou que ma vie est menacée, seul mon toucher suffit pour réduire n'importe quoi à néant. Après tout, peut-on empêcher une enfant kidnappée de pleurer ?

    EELUTS : Do.

    POUVOIR ET RACE DE L'EELUTS :
    C'est un renard, qui a le pelage noir, en dessous de la taille normale. Il renforce quelconque objet, chose. Si vous voulez plus d'explications, imaginez un bout de carton, qui après être passé sous la patte de l'animal, devient aussi solide et résistant que du diamant.




-HISTOIRE DE VOTRE PERSONNAGE :


« La Belle, ayant fricoté tout l’été, Se trouva fort dépourvue, lorsque son ventre se fut dodu. Pas une seule personne sur qui compter, Toutes l’ayant abandonnée. Elle alla crier son péril, Chez mamie trop gentille, La priant de lui prêter, Le couvert et le foyer jusqu’à période plus aisée. « Je vous payerai lui dit-elle, Après Mai, foi de donzelle, Intérêt et temporel. » Mamie n’est pas arriérée, c’est encore dans sa capacité. Que faisiez-vous au temps chaud ? Dit-elle à cette inconsciente. – A n’importe quel endroit et à tout moment, je draguais, ne vous déplaise. –Vous flirtez ? J’en suis fort aise. Eh bien ! Vomissez maintenant ! »

La belle en question, s’en retourna, dans l’hôtel misérable qu’elle occupait, main sur son ventre légèrement arrondi. Pour être belle elle l’était, c’était sûr, sa cote avec les garçons était disons plutôt élevée. Ses lèvres rouges une invitation aux baisers, son corps destiné à l’amour, ses longs cheveux noirs et bouclés à être entortillés autour d’un doigt curieux, et ses perles bleues qui lui servaient d’yeux à être vues. Charmeuse, on ne pouvait plus, Damoiselle Rosaly Gweenlady, était une briseuse de cœurs, ayant sorti avec autant de garçons qu’il y a d’étoiles dans le ciel, en vingt ans. Le jeune homme avec qui elle avait fait cet enfant, elle ne savait même pas qui c’était. . . Ah, si peut-être celui aux yeux noirs et à cette bouille d’ange, qui aurait presque put la faire tomber amoureuse. S’étant en allée pendant près de deux ans, Miss n’avait pas put voir ses parents pendant ce temps. Rebelle depuis toujours, elle avait arrêté son éducation à 14 ans, était partie faire le tour du monde avec son ex à 15, était revenue à 17, s’est fait pardonnée à 18 s’en allant deux semaines après, et revenait enceinte quelques semaines plus tard. Trop forte. Maman lui avait dit de se faire voir, Papa qu’elle arrête de faire sa pu. . . Herm, Papi. . . Pareil, et Mamie venait de la mettre au tapis, tous les rings remportés. « Tu vas connaître la vie, la vraie. Finit le temps des soussous de Mum & Dad chaque mois, pour que la fifille fasse ses caprices, finit le temps des voyages, maintenant, tu te débrouilles. » Alors elle patientera, en ce douloureux, gris et froid mois de novembre, pendant les 6 prochains mois à venir, en attendant son bébé. Rosaly avait décidé d’assumer, maintenant ses actes. Et ce ventre rond également. Ses talons claquant sur les pavés de pierre du chemin, beaucoup de personnes se retournaient à son passage. Elle les ignore, comme toujours.

***

« Peter Pan ma chérie, oui, c’est ça, comme Peter Pan. . . Ouais, vis ta vie en couleur c’est le secret du bonheur. . . Oui, c’est ça. Pourquoi ? C’était parce que c’était mon histoire préférée quand j’étais petite. . . Pan, c’est joli comme prénom, tu ne trouves pas mon amour ? Ça veut dire pleins de trucs Pan en plus, je crois.»

La petite fille, qui posait tant de questions, était accrochée tel un ouistiti à la jambe de sa mère, qui commençait à peiner à avancer, dans les grandes avenues Parisiennes. Par la même occasion, notre petit singe de quatre ans remontait sans le savoir la jupette de Rosaly, qui essayait tout les dix mètres de la rebaisser. La jeune fille avait un appartement chicos non loin d’ici, mais pour l’instant, l’objectif était d’arriver en l’espace de 5 minutes au cours de piano, à l’autre bout de l’avenue, qui était, disons, assez longue. Pan, oui c’est un joli prénom. Court, efficace, facilement prononçable, la consonance était idéale, et le nom en lui-même mignon. Pan, comme le Dieu de la nature, dans la mythologie grecque, comme la flute, Pan, comme le coup sec et retentissant d’un fusil, qui souvent donne la mort, Pan, oui, comme Peter Pan, enfant malin qui ne veut pas grandir. Mais Pan aura un nouveau sujet, celui du petit bout de chou aux yeux d’un noir insondable. Elle, Rosaly, avait bien finit par s’en sortir, elle avait put renouer les liens avec sa mère grâce à la fillette, mais malheureusement pas avec son père, ni le reste de sa famille. Au moins, elle menait une vie saine, enfin, elle n’avait et n’a jamais eut de problème d’alcool, de drogue –pour tout dire elle trouvait cette apparence sale-, mais son chemin sur la route de l’amour court et passionnel ne s’était pas estampé, ou légèrement à cause de Pan, elle enchaînait les relations.
Un matin comme beaucoup, trop d’autres ;
« T’es qui toi ? »
« Euh. . . Rosaly! ! ! Help me, Darling! »
Rosaly et Pan arrivèrent à la salle en question, la jeune mère, disant à sa fille de filer. Son opération séductrice en marche, elle regardait le beau professeur arriver, s’appuyant sur le mur, le bassin de côté. Le prof rougit, et bafouille ;
« Je peux vous inviter à prendre un verre, mada. . . Mademoiselle Gweenlady ? Ce. . . Oui, si vous voulez, ce soir. . . »

***

« Do Ré Mi Fa Sol La Si.
C’est bête, franchement. Pourquoi s’enquiquiner avec des mots alors que les notes ne sont que des sons ? Et puis, Do ça va encore, c’est un mot net, court. Ré, ça fait penser à la bestiole, la raie. . . Donc déjà, tu te dis que si la musique c’est du poisson, ça vaut pas mieux que le braillement d’une poissonnière ! Mi, c’est trop possessif. Fa, ça fait penser à du chinois, comme si on avait besoin d’être chinois pour faire de la musique. Sol, si la musique est en sol, ça ne te promet en aucun cas d’être emportés, de décoller. La, c’est là, là bas. T’es pas au sol, mais t’es pas ici, tu comprends ? Et Si. . . Si, c’est ce qu’il y a de pire. Avec des Si, on referait le monde. La musique, c’est précis, ça ne peut pas être instable. Alors, moi tu sais, les notes de musiques. . . Apprendre à lire la musique. . . N’est-il pas mieux de vivre la musique, de la sentir ? Non, tu ne crois pas ? »
« Pan Gweenlady, tu te cherche des excuses, tu te casses la tête pour rien. »



Pan passa une enf. . . Pan passa une partie de son enfance en compagnie de sa mère joyeusement. La petite se révélait douée pour la musique, une fillette intelligente, très, trop, curieuse, ouverte, et qui voulait savoir tout. Mis à part tout ce qui concernait la mort, le réchauffement climatique, la montée des eaux, la fin du monde. . . Elle savait que ça déprimait, alors elle ne voulait pas en entendre parler, elle souhaitait que rien ne gâche sa liaison avec sa moman, car comme elle disait, « c’est la mienne, elle est à MWA. » D’ailleurs, la moman se demandait vraiment si sa fille n’était pas légèrement hyperactive, et par se doute, elle l’avait inscrite dans un centre d’escalade, ce qui était une bonne et mauvaise idée. Bonne, parce que Pan était crevée à la fin de la journée où elle avait l’activité, et Rosaly pouvait être tranquille. . . Et mauvaise parce que en dehors de cette journée bénie, le bout de chou avait transformé la maison en piste d’escalade, la jambe de sa mère aussi. . . Elle courait partout, dans les rues, c’était difficile de suivre sa fille, et pour cela, elle commençait sérieusement à s’inquiéter. De nombreux enfants disparaissaient, leurs parents mouraient mystérieusement à la suite de les kidnappings. Après tout, qui voudrait vivre après la disparition de ce qu’il y a sûrement de plus chers pour eux ? Rosaly Gweenlady faisait partie des personnes qui protégeaient leurs enfants le mieux qu’ils pouvaient, pour lutter contre cette menace introuvable et invisible. Elle faisait partie de ceux qui barricadaient leurs portes la nuit. Mais, lorsque vous croyez que vos piliers reposent sur une terre stable, alors qu’en fait, ils sont prêts à s’effondrer à tout moment, que faîtes vous pour lutter les yeux fermés ?

***

« Non, mon poussin, c’est pas des fantômes. . . Non, puisque je te le dis. Tiens-toi tranquille mon ange s’il te plait. Ne bouge plus. Plus aucun bruit. . . Je ne sais pas ce qu’ils nous veulent, mais les méchants messieurs vont s’en aller, je te le promets ! Pourvu que ce tintamarre cesse, bon sang, quand est-ce qu’ils vont arrêter de frapper à la porte ! Ne pleure pas mon amour, je vais appeler quelqu’un. . . Va te cacher, Maman te rejoint, vite ma douce. »

Des hommes tapaient de plus en plus fort à la porte de l’appartement de Rosaly, cela allait faire bientôt cinq minutes que ça durait. La jeune femme faisait tout son possible pour rassurer Pan, qui commençait à paniquer. Pour dire vrai, grande et si sure d’elle qu’elle était, elle avait peur, elle aussi. Son quotidien était merveilleux, pourquoi en quelques instants tout devient si sombre ? Elle se demandait bien qui étaient-ils. Rosaly espérait seulement que ce n’étaient pas eux. Eux, ceux qui kidnappent les enfants. Pan était une enfant si formidable à ses yeux, qu’adviendrait-il d’elle si l’être le plus cher au monde pour elle disparaissait ? Elle n’en savait rien et ne préférait jamais le savoir. Prenant son courage à deux mains, elle va vers la porte d’entrée, regarde par le judas pour voir qui sont ces individus. Grands, baraqués, des capuches qui cachent leurs visages rattachées à un manteau noir, c’étaient eux, elle le savait. Rosaly était pourtant une battante, mais tout espoir semblait perdu. Désespérée, elle alla rejoindre sa fille qui était recroquevillée sous la table du salon, lui prononçant des paroles d’amour, qui se voulaient rassurantes. . . Elle espéra que ce ne fussent pas les dernières.


***

« PAN GWEENLADY! REVENEZ ICI IMMEDIATEMENT!! Que quoi. . . COMMENT ÇA QUE JE SUIS UNE GRANDE SAUCISSE ! VOUS ALLEZ VOUS FAIRE SEVEREMENT CORRIGER ET VOUS AL. . . PAN ! REVENEZ ! » L’enfant sortait dans un grand fracas, des larmes coulant sur ses joues rebondies, qui s’envolaient à cause de sa course. Ses petites chaussures claquaient sur les pavés du couloir. Derrière elle, des tâches, sur le sol. Non, des trous qui s’élargissaient peu à peu, bien qu’ils ne soient que très peu profonds.»

Six mois. Cela allait faire six mois que l’enfer durait, que Pan n’avait pas vu sa mère. On l’avait arrachée de ses bras, les ravisseurs n’ayant que faire des cris, des débattements, des pleurs de la mère et de l’enfant. Comment survivre à cela, elle-même l’ignorait. Et, après l’avoir kidnappée, on l’avait droguée, pour qu’elle ne se rendre compte de rien, ni de l’endroit où elle allait. Intensive Training, ce qui fait qu’elle ne sait même pas où elle vit actuellement. Enfin, où, on se comprend. Pan a fait des dizaines de fois des excursions dans les parcs et jardins du centre. Oui, cet endroit n’était qu’un centre où des enfants grandissaient manipulés, entraînés pour le combat, qui possédaient des pouvoirs extraordinaires ou presque. C’est tout ce qu’elle était. Un des joujoux des scientifiques tous fous.

« Elle a tellement pleuré, c’est pour ça ! Nan, mais qu’est ce que tu crois Jack, c’est forcément lié. . . Hier encore, en apportant des pilules à la ptiote, je l’ai surprise entrain de pleurer, son bureau était à moitié détruit. Je suis sur que c’est de là d’où proviens son pouvoir. . . Tu te rends pas compte mon vieux ! Là, si on lui demande de te pleurer dessus, tu te désintègre lentement ! Ça ne devrait pas être possible d’avoir un pouvoir qui gère autant qu’ça ! Et attends. . . Selon les scientif’ si on la met en colère, elle te touche, et là, d’un coup, tu subis le même sort. Par le toucher vieux ! . . . Ben moi, elle me fait peur c’te gamine. J’ai demandé au secrétariat de me remplacer pour ces services. . . Nan, azy, ça craint. Et tu sais quoi, son animal, là, c’est pas mieux ! L’aut’ fois, ouais, c’est ça, hier, je l’ai vu passer sur un mouchoir, un simple mouchoir blanc, t’sais, et là, moi, en shootant dessus, ben, ‘me suis éclaté le pied. Ouais, mes petits doigts l’sentent encore. . . »

Do. L’Eeluts de Pan, un petit renard noir, plus petit que la taille normale, suivait à pas rapides sa maîtresse dans les couloirs, marchant sur chaque trou qu’avaient causé les larmes de l’enfant, trous qui retrouvaient leur jeunesse passée, essayant de la rattraper. Pan ne s’était jamais habituée au rythme de l’école. Les professeurs ennuyeux ne la connaissaient pas, seulement comme nom manquant de la liste d’appel. Elle ne restait pas plus la moitié du temps dans les cours les plus barbants, s’en allant. S’en allant dans les jardins de l’établissement, elle passait même la plupart de son temps dans les roseraies à jouer à cache-cache avec Do, grimpant aux arbres des vergers, essayant de trouver la fin des dédales infinis des parcs. Elle avait rencontré son Eeluts dans une roseraie, justement, comme par magie. Complémentaires et si ressemblants l’un de l’autre, ils ne se quittaient jamais, ils étaient chacun le réconfort de l’autre. Quant au nom de l’animal, c’était à cause d’un souvenir vague qu’elle l’avait nommé ainsi. Elle avait complètement abandonné le piano, Do était sa musique à elle. Pan était pourtant une élève douée au combat, rusant comme le renard, furtive et rapide, ne misant pas dans la force de ses coups mais dans la précision. Côté pouvoir, en revanche, elle explosait, ne savait pas encore bien se contrôler. Les scientifiques eux-mêmes ne savaient pas qu’elles étaient les limites de la désintégration, et pour ce, elle était souvent au labo contre sa volonté.On l'avait donc mise dans la catégorie des pouvoirs spéciaux. Pan recherche une liberté, qu’elle sait possible, mais qu’elle n’a pas encore trouvé. Elle l’espère, la cherche, l’appelle. Une des raisons qui l’anime : retrouver sa mère, et lui dire à quel point elle l’aime. Elle espérait seulement que tous ses efforts ne seraient pas vains, que sa génitrice n’était pas morte, comme beaucoup d’autres des élèves de l’école. . . Tel est son univers. Opaque est le mot. Ni sombre ni lumineux. Un univers, un fond épuré, c’est le bon mot, seulement cadré avec grâce, tel une musique.


-DESCRIPTION PHYSIQUE :

« Bonjour monsieur. . . » Rosaly Gweenlady entra dans le bureau d’un des officiers de la police municipale de Paris. « Oui, c’est bien moi. Je viens pour la disparition de ma fille Pan. » La jeune femme s’assoit, tout en serrant une poignée de main au commissaire, ils se connaissaient déjà vaguement, grâce à des rencontres passées. Elle s’assoit, sur un des sièges qui entouraient le bureau écroulé sous des feuilles et dossiers. Elle avait de grosses cernes, les yeux rouges et gonflés, on voyait bien qu’elle usait tout son courage pour ne pas pleurer. L’homme lui demanda avec gentillesse, si elle pouvait expliquer ce qui c’était passé, exactement. Pendant une bonne quinzaine de minutes, Rosaly parlait, parlait, ses mots coulaient avec autant de facilité que des larmes. « Monsieur, allez vous lancez de recherches, ou n’ai-je aucun espoir ? » Il lui répondit que bien entendu, ils allaient faire tout leur possible, mais que ce genre de disparitions affectaient aussi beaucoup d’autres endroits dans le pays, et pas seulement en France. « Ma fille ? Pan, oui, c’est son nom. . . »

« . . . Elle n’est pas plus haute que ça. » Fit-elle en haussant la main, sa distance avec le sol n’était pas plus qu’un mètre et quelques. « Elle est de corpulence très normale. Elle a les cheveux courts, noirs et bouclés, ses yeux sont de la même couleur que ses yeux. . . D’accord, merci beaucoup monsieur l’agent. Au revoir. » Rosaly sort de la salle à l’atmosphère lourde, sort du bâtiment de la police, un vent frais et humide lui fouette le visage, ainsi que de nombreuses gouttelettes de pluie. Elle regrettait ce qu’elle avait dit au commissaire. Non, Pan n’était pas comme ça, c’était une enfant bien plus compliquée. Si elle devait la décrire une nouvelle fois, elle referait. *Recommençons*, pensa t-elle. Après tout, qui pourrait mieux décrire son enfant qu’une mère ?
* Pan Gweenlady est d’une taille légèrement plus petite que la moyenne. Elle mesure exactement un mètre onze. C’est également un poids plume, mais elle n’est pas si rikiki que ça. Vous remarquerez sûrement chez elle, ses yeux, premièrement. Ils sont d’une couleur étonnante. . . Noire, nous sommes d’accord. Noire comme le noir d’un abîme insondable, il est impossible de discerner sa pupille de son iris. En fait, ce n’est pas réellement sa couleur qui est fascinante, mais les émotions de ce petit être qui passent dans ses yeux. Ses regards sont toujours intenses, quelques soient son état. Si vous la voyez, vous comprendrez facilement, si elle est en colère ou non, si elle s’interroge, bref, elle vous transmet toutes ses émotions grâce à son regard magnifique, qui fait craquer de nombreuses personnes. Comment dire. . . Ses yeux sont ensevelis sous ses cils noirs. Ils sont tellement longs, épais et fournis, qu’ils occupent une des places principales de son visage, ils caressent à chaque battement de paupières ses joues. Ses petites joues légèrement roses, rebondies et douces qu’on comparerait à une pèche facilement, les légères rondeurs de l’enfance sont bien présentes chez Pan. Elle possède une petite bouche rose, dont la lèvre supérieure est légèrement plus en avant que la lèvre inférieur, mais cela de dénature en rien sa bouche, c’est seulement un « type » de bouches. Un petit bec de lièvre comme dirait certains, qu’on aurait volontiers envie d’embrasser, mais bon, ce n’est qu’une enfant. Son petit bout de nez devient rouge vif en hiver, mais c’est un nez, quoi, rien de plus. . . Oh, autre chose de principal que vous remarquerez chez elle. Ses cheveux. Ils sont d’un noir pur, pas bruns très foncés, noirs, et au soleil, aucuns reflets qui pourraient rendre ses cheveux d’une autre couleur. Les boucles sont bien discernées, jamais ses cheveux ne frisent, ils sont dans ce genre de situation plutôt lisses, même. Ils sont courts lui arrive tout juste au menton. C’est une enfant d’un naturel joyeux et elle est toujours souriante. . . J’espère qu’il en est toujours ainsi. Je l’habillais toujours d’une manière très recherchée nous adorions nous prélassez toutes deux devant le miroir, parfois même, elle me donnait des conseils sur mes vêtements, bref, nous aimions les habits, pour ne pas dire la mode, que nous suivions rarement. C’est une enfant, sa poitrine est inexistante, bien entendu. Elle aime se balader pieds nus, elle ignore si elle a froid dans ce cas, mais je ne vais pas dire qu’elle n’est pas frileuse, bien au contraire. [. . .]*»



-DESCRIPTION DU CARACTÈRE :

« *[. . .] C’est une enfant à part entière. Il n’y en a pas deux comme ça dans le monde. Sa personnalité est spéciale, mais c’est ainsi qu’on aime Pan. Déjà, je la suppose hyperactive. Jamais, vous ne la verrez ne rien faire. Ses périodes d’ennui sont très fréquentes, il faut toujours l’occuper. . . Je regrette de n’avoir pas été toujours à ses côtés, lorsqu’elle s’ennuyait. Elle adore jouer, nous étions vraiment très très complices, pour toutes sortes de choses. Nous nous ressemblons. Elle, comme moi à son âge, était une petite fille charmeuse, qui faisait les yeux doux à tout le monde. Déjà à sept ans, elle est légèrement manipulatrice. Elle est possessive, jalouse parfois, mais qui ne l’es jamais ? C’est vraiment sinon, à part ça, une bonne personne. Mais ne l’oublions pas, elle n’est qu’une enfant. Rêveuse, elle me racontait souvent des histoires qu’elle avait inventées. Elle avait une passion pour le dessin, mais aussi pour l’escalade. Un vrai petit ouistiti, que vous auriez envie de câliner. . . Vous seriez ravis si vous entendez sa voix chantante d’enfant, elle adore fredonner de petites musiques. . . Elle est d’un naturel joyeux, mais malheureusement pour moi, boudeur. Vous craquerez sans doute sous ses moues boudeuses, lui accordant tout ce que vous voulez. Elle est téméraire, elle sait prendre son courage à deux mains, mais Pan est très sensible, et fragile niveau moral. Elle se laisse facilement blesser par des mots méchants, mais grâce à son entêtement, en général, elle arrive à surmonter les coups bas. . . En revanche, j’ignore totalement comment elle va, en ce moment même, comment elle se comporte. J’espère qu’elle est heureuse. Mais je suis la personne qui doit la connaître sûrement mieux que personne. Ainsi, où qu’elle soit, je suis capable de supposer ses réactions. Là, enlevée, ça me fait tellement mal au cœur, mais j’en suis sure. . . Elle est tellement petite, je suis certaine, qu’elle n’a pas arrêté de pleurer, elle pleure souvent lorsque quelque chose la touche trop. Comme je la connais, elle doit être renfermée sur elle-même, ne parlant vraiment qu’à ses amis, n’accordant la parole qu’à ceux qui le méritent. . . Mais bon, je sais qu’elle surmonte quand même tout ça, et que, où qu’elle soit, elle fait des blagues mauvaises ou bonnes aux gens qui l’énerve, et sans doute, vous l’entendriez rire. Bon, je ne vais pas non plus laisser supposer qu’elle ne parle pas, bien au contraire, mais elle doit souvent péter les plombs, surtout si on ne l’écoute pas, ou si elle s’ennuie. . . Pourvu qu’ils aient des murs d’escalade, histoire qu’elle se défoule. J’espère quand même qu’elle écoute bien les autres. . . Je ne veux pas qu’elle ait d’ennuis. Je sais juste, que si elle n’a pas une part de liberté, elle fera tout pour l’atteindre. Elle y arrivera. * »




-Moa-

    -VOTRE PRENOM : Emma

    -VOS ARTISTES ET /OU/ GROUPES PRÉFÉRÉS : The White Stripes (Seven Nation Army), The Black Eyed Peas, Flo Rida, David Guetta, Owl City, Mike Posner, Estelle (American Boy), Foster the People, Pony pony Run run, Two Door cinema club, LMFAO, Mike Posner, Muse. . . Et tant d'autres. . .

    -VOS LIVRES PRÉFÉRÉS : Le Dernier Jardin, Reckless, mes deux préférés, même si j'en adore pleins. . .

    -VOS LOISIRS, PASSIONS, ETC. . . La musique, le dessin, les fringues même si je déteste le shopping, pouvoir écrire en pouvant ancrer ses sentiments de le texte, lire, danser et chanter en cachette, rien faire, écouter ce que disent les gens qui ne vous parlent pas, rire intérieurement et lancer les pires vannes pas possible dans sa tête, faire ch*** les c***, ignorer, ah, et le taekwondo aussi.

    AVEZ VOUS DEJA UN AUTRE COMPTE SUR NOTRE FOW' ? Naon.

    -COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ?: Ben, j'ai participé à sa création, mais sinon c'est Mum qui m'a filé le lien <3

    -COMMENT TROUVEZ VOUS LE FORUM ? So cool voyons. . .

    -CODE n°1 : Admin Powa ♪

    -CODE n°2 : Itoo Razz





Dernière édition par Pan le Sam 12 Mai - 23:21, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Pan ♪   Pan ♪ Icon_minitimeSam 28 Jan - 23:12

Je me permet de double-poster, j'ai terminé mon histoire. ♪
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