Parce qu'avant j'était un gosse normal.
« Mark ! Joue pas avec mon clavier ! » s'exclama le jeune homme au cheveux brun, qui venait de s'apercevoir que son jeune frère était grimpé sur le tabouret devant son synthé et qui desormais improvisait une rapide mélodie, profitant des quelques seconde d'inatention de son ainé.
Le jeune homme attrapa le gamin de ses deux grandes mains, interompant sa chanson et le posa au sol. Son agaçant petit frère venait a peine de feter son 8em anniversaire, et plus les années passait, plus il se montrait turbulent.
« Mais Jake ! Protesta-t-il de sa petite voix d'enfant percante qui n'avait pas encore mué, je fais rien de mal ! Laisse moi tranquille un peu ! »
Jake le poussa hors de sa chambre, ignorant les incessant débattement du petit garçon qui gesticulait dans l'espoir de resister a la poigne de fer du jeune homme. Jeune homme qui avait une dizaine d'année de plus que lui, ce qui resulta sans doute de sa défaite et du fait qu'il fut bientôt enfermée hors de la pièce.
« Je te laisserais tranquille quand tu arretera de penetrer sans cesse dans ma chambre ! Dehors ! » continua la voix de Jake derrière la porte.
Il laissa échapper un soupir exaspéré en entendant les petit pas joyeux du garçon s'éloigner dans le couloir, et retourna s'asseoir a son bureau. Depuis leurs instalations a Londres il y a un mois, Mark était de plus en plus étrange. Il devenait de plus en plus étrange. Jake savait bien qu'au fond, c'était un garçon adorable, et il y était beaucoup attaché, a son petit frère. Pourtant, pourtant son caractère devenait instable, son humeur changeante, ses colère de plus en plus fréquente. Et de plus en plus violente. Et l'inquiétude de leurs parents grandissait de jour en jour, au fur et a mesure qu'ils voyaient leurs si jeune garçon se détraquer sans qu'il n'y ai aucune raison. Comme s'il s'usait, se fatiguait. Comme un jouet qui aurait trop servi. Pourtant, les Shiver était tous ce qu'il y a de plus normal, des parents aimant, un grand frère taciturne, dans un joli petit pavillon au alentours de Londres, une famille banale comme il en y avait par centaine en Angleterre.
Parce qu'avant, j'avais juste des troubles de personnalité.
« Ce n'est pas encore bien grave, Mme Shiver, il peut encore sortir de là. »
La Mme Shiver en question refoula un sanglot. Elle était dans l'incapacité de répondre. Son fils, son adorable fils, pourquoi était-ce arriver a lui ? Elle jeta un regard derrière, tant bien pour cacher ses yeux brillant de larme du psychologue que pour regarder, a travers le cadre de la porte, son jeune fils de 10ans qui l'attendait dans la salle d'attente en remuant ses petite jambes. Lily, la psy, s'occupait plus de l'attitude du jeune garçon que des sanglot de sa pauvre mère. De sa carrière, elle n'avait jamais vu ça. En général, on ne souffre pas de ce genre de chose sans raison. Elle avait chercher pendant des mois, interogeant a chaque séance Mark sur ses souvenir d'enfance, un souvenir qui aurait pu être a l'origine de ce trouble. Helas, il n'y avait rien d'assez violent pour provoquer cela. Son pire souvenir était le jour ou il s'était couper le doigt avec du verre. Vraiment pas un traumatisme. Elle creusa sa cervelle de psychologue, mais elle avait beau retourner le problème dans tout les sens, elle ne voyait pas comment c'était possible. Soudain elle tressaillit.
« Mme Shiver, vous êtes sure qu'il n'y a aucun souvenir de votre fils qui puisse être responsable de ce trouble ? » demanda-t-elle hativement, arrachant la mère a ses sanglots.
Elle leva le nez de son mouchoir trempé.
« Mais non, il ne s'est jamais rien passer de tels dans notre famille, comprennez, nous sommes juste des gens normaux. . . »
« Et si cela ne s'était pas passer dans votre famille ? »
La femme palit.
Et puis après ils sont venus, et ça s'est empiré.
Un bruit de voiture qui dérape, des cris, des exclamation. Un hurlement. Une collision. Et un liquide brulant projeté sur tout son corps.
Mark ouvrit les yeux, en sueur, le souffle court. Il se redressa précipitement. Une lumière éclairait les mur de sa chambre. Il regarda par la fenètre. Une étrange camionette noire venait de s'arreter, éclairant les ténèbre de la nuit de ses deux immense phare, aveuglant le jeune homme auxquelles les yeux était habitué a l'obscurité. Il bondit de son lit, enfila un jean en vitesse et sortit voir ce qu'il se passait . Etait-ce la voiture de l'un des amis de ses parents qui les rammenait après la fête a laquelle ils étaient conviés ? Ils lui avaient dit qu'ils ne rentrerait probablement pas par le métro ce soir, que ce serait un peu tard. Il descendit les escalier en hâte, avec toute l'agilité et la discretion que pouvait avoir un jeune homme de 17ans, soit quasiment aucune, et bondit sur le palier du rez-de-chaussée. Il traversa le salon, poussa la porte d'entrée et sortit de la maison pour aller a la rencontre de ses parents. Pourtant ce ne furent pas ses parent qu'il vit sortir de la grosse volvo noir. Mais deux grand mec baraqué, costard cravate et lunette noir sur le nez qui se dirigèrent droit vers lui.
« Qu'est ce que vous voulez ? » s'enquit Mark, sans prudence.
Ils s'immobilisèrent a un metre de lui. Le jeune homme haussa un sourcil. Ca sentait la blague de mauvais gout de George, celui-ci regorgeai d'immagination quand il s'agissait de lui monter des canular. L'un des deux hommes sortit de sa poche un bout de papier plié. Il le déplia avec précaution et le braqua devant les yeux de l'adolescent. Une photo, une photo d'une personne qu'il conaissait bien. Son sang se glaça, son coeur se mit à accelerer dangereusement, son corps fut bientot prit de tremblement qui le secouait de plus en plus. Sa vision se brouillait. Il se colla contre la porte. L'autre homme leva la main droite et un cliquetit se fit entendre. Mark tenta de l'ouvrir, sans quitter les deux types qui s'approchait lentement de lui du regard. Mais elle refusait de s'ouvrir.
« Comment vous savez ça ! Comment vous savez... ! » hurla-t-il d'une voix deformé par sa fureur.
Il perdait le controle. Les tremblement s'accentuèrent. Un cri fusa dans sa gorge, il prit sa tête entre ses mains et tomba a genoux. Sa tête lui faisait mal, il avait l'impression qu'elle allait éxplosé. Une vague d'énergie se saisit soudain de lui. Puis il y eu une détonation. Une énorme détonation qui semblait lui explosé les tympans. Ce qui fut d'ailleurs le cas. Et pas que seulement ses tympans. Les deux hommes, la maison, la volvo, tout. Tout avait été balayer par l'explosion. Explosion que lui, Mark Shiver lycéens de 17ans avait provoqué par on ne sait qu'elle moyen. Etendu sur le sol, souffrant le martyr, il cru vraiment que ç'allait être la fin. Pourtant il luttait, luttait contre cette fatigue glacial qui tentait de le saisir, luttait contre l'inconscience, car il savait que s'il fermait les yeux, il ne les rouvrirait plus jamais. Ses oreilles sifflait, son corps le brulait, autour de lui, les flammes progressait. Au milieu de ce décor apocalyptique, il venait enfin de comprendre que malgré tout ce que l'on aurait pu dire, il était different. Devant ses yeux, au milieu des debris qui volait un peu partout, il vis la photo voleter devant ses yeux. On pouvait y voir une petite fille au sourire éclatant, au cheveux caramel et au yeux pétillant de joie. Mélanie Leavely, la pauvre petite fille qui fut tué ce maudit jour du 5juin par un chauffard qui roulait un peu trop vite. Cette petite fille qui s'était jeter devant lui alors qu'il traversait imprudement. Et c'est le sang de cette petite fille, qui avait recouvert le corps de Mark, qui était l'origine de tout ce qui c'était passé. Et dire qu'il avait enfin reussi a vaincre ses problème de personalité. . .
Et ensuite, tout c'est écroulé.
Il hurla, hurla a s'en arracher la gorge. La douleur était trop forte, la tesion trop élevé. Il avait l'impression qu'on l'avait écorché vif et qu'on lui brulait le corps entier. Il hurla de plus bel, mais aucune de ces plaintes dechirante ne firent stopper la douleur.
De l'autre coté de la vitre, un scientifique observai, notait, chacune de ses réaction. Le jeune homme levitait au centre de la pièce isolé, et quatre cable lui infligeait une décharge constante d'énergie. C'était inhumain. Tout simplement inhumain. Mais Mark n'était pas considéré comme un humain. Mais comme un rat de laboratoire. Voyant que rien ne se produisait, la jeune femme augmenta encore la puissance des rayon, les hurlement redoublèrent. Mais toujours rien. Quand le jeune homme perdit connaissance, elle fut dans l'obligation de stopper les décharges, et il s'écroula au sol dans un bruit mat. Aussitôt, 4 infirmier pénetrèrent dans la pièce ou se trouvait le corps meurtie de l'adolescent et lui remirent les quatres bracelets qui retenait ses pouvoirs lorsqu'il sortait de l'enceinte de la pièce isolé, avant de le tirer dans sa chambre. La scientifique soupira. Ce n'était pas pour aujourd'hui non plus apparement. Sur son cahier d'observation, elle nota « 24 décembre : échec »
C'était le 20eme de suite. La dernière fois qu'elle avait réussi a provoqué une explosion, c'était il y a un mois. Et elle ne comprenait toujours pas quel était la nature exacte du pouvoir de Mark. C'était tellement exaspérant. . .
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Mar 25 Déc - 2:56
