VOUSPrénom : Camille
Age : 14
Vos Hobbys : Beaucoup de choses x)
Origine : Euh, l'origine où l'endroit où j'habite ? Parce que j'habite en France mais je suis d'origine Franco-Espagnole x) Mais comme tout le monde s'en fout de ça, on va juste dire que j'habite en France XD
VOTRE PERSONNAGENom : Blake
* Prénom : April (à prononcer à la française ou à l'anglaise, au choix).
Surnom : Aucun pour le moment.
* Sexe : F.
* Age du perso : 16.
* Groupe et Rang : Lycéene en section physique.
* Rang : ♪ La mémoire est un puits de souffrance ♪
* Pouvoir : Peut modifier sa taille ; Est élastique.
* Eeluts : Rubis.
* Pouvoir de L'Eeluts : Invisibilité
* Race de L'Eeluts : Un lapin.
* Histoire : Avril 1995. L'aube se lève, illuminant les toits des innombrables rangées de maisons du quartier ouest de la ville. Il est encore tôt, et pourtant un embouteillage, animé par des coups de klaxons dans tous les sens, a déjà fait surface dans la rue principale. La raison ? Une voiture garée en plein milieu de la rue. Le conducteur en sort, on lui lance des injures, auxquelles il répond, d'une voix virant sur les aigus à cause du stress et de la panique qui ne cesse d'augmenter :
« J'ai pas le temps, je suis pressé, ma femme accouche ! Dégagez le passage, mince, ma femme accouche ! »
Des hommes et des femmes compatissent alors et reculent leur voiture pour le laisser passer. Les véhicules font demi-tour, préférant passer par un autre chemin. Le jeune homme court alors plus vite que jamais, pris par une violente poussée d'adrénaline, vers la maternité, juste en face de lui. Il demande à l'accueil, puis monte quatre à quatre les marches des escaliers avant d'ouvrir la porte à la volée de la chambre où sa femme accouche.
Elle est là, émue, les larmes aux yeux, pleurant et riant à la fois, tenant dans ses bras un bébé déjà propre qui s'est remis à pleurer.
« Mary ! » crie l'homme.
La femme le regarde, et le sourire s'agrandit, laissant couler une nouvelle vague de larmes.
« Jack, tu viens d'être papa ! »
Alors Jack s'approche et commence à pleurer à son tour. Il prend son bébé au creux de ses bras, l'embrasse, la berce, à la fois ému de voir enfin son enfant, son enfant à lui, mais aussi rongé par le regret de ne pas avoir assisté à sa naissance, bien qu'il ait fait aussi vite qu'il avait pu pour venir.
Il repose ensuite sa fille (oui, c'est une fille) dans les bras de sa femme, puis s'approche d'elle et l'embrasse passionnément.
« Tu as trouvé un prénom ? » lui demande-t-il.
Mary sourit puis répond tout en caressant son bébé :
« Que penses-tu de April ? J'ai voulu miser dans la simpliciter. Porter le mois de sa naissance en prénom, c'est pas mal, hein ? »
Jack rit, et alors Mary sait que l'affaire est décidée. Sa fille s'appelera April. April Blake.
***
Les années passèrent mais toujours le ménage resta heureux. Mary avait repris son travail de cuisinière en chef, et Jack était professeur à l'Université de la ville voisine. April, quant à elle, restait chaque jour chez une nourrice qu'elle aimait beaucoup. On était heureux, on vivait bien. Et pourtant, plus les jours passaient, plus on remarquait quelque chose d'étrange chez la petite.
Sa taille changeait constamment. Un jour elle était grande, l'autre elle était petite. Un jour elle était maigre et l'autre elle était grosse. Au début, on ne le voyait à peine, c'était bien trop léger. Mais ensuite ça devint plus gros, et on ne pouvait s'empêcher de le remarquer. Elle changeait sa taille chaque jour. Un jour même, on la vit avec un bras bien plus long que l'autre. Et alors on sut que non seulement sa taille modifiait, mais aussi les proportions de son corps.
Alors, inquiets, les parents finirent par l'emmener voir un médecin, alors qu'April touchait ses 4 ans. Mais le médecin était perplexe. Jamais il n'avait vu d'enfants comme cela. Mais devant l'air angoissé des parents, il dit qu'il n'était pas un expert, qu'il pouvait se tromper et que peut-être il s'agissait tout simplement d'une petite maladie génétique. Alors on décida qu'on devrait faire des tests.
Une année plus tard, on emmena donc April dans un laboratoire. Les parents avaient mis du temps à se décider, se demandant si c'était une bonne idée de laisser leur fille dans les mains des scientifiques. Mais finalement on pensa que c'était bien, que ça pourrait aider leur fille qui, au fil des jours, modifiait de plus en plus sa taille.
Le premier test se déroula comme prévu, et April, qui du haut de ses 5 ans ne comprenait absolument pas ce qu'il se passait, n'avait pas bronché une seule fois. Elle restait sage, observant tout et ne se rendant compte de rien, faisant simplement ce qu'on lui demandait de faire.
A la fin du deuxième test, les parents se tranquilisèrent enfin, pensant qu'il n'y avait rien à craindre, que les scientifiques savaient ce qu'ils faisaient. Ce fut le quatrième test qui bouleversa tout.
On avait installé la petite dans une salle remplie de machines. Toute sage, suivant des yeux les scientifiques qui se dépêchaient de finir leur installation, April se laissa faire. On l'allongea. Et on mit la machine en marche. Une fraction de seconde plus tard, l'enfant hurla de douleur. Elle se débattit pour la première fois, criant, appelant ses parents à l'aide et pleurant comme elle n'avait jamais pleuré. Jack et Mary, qui avait observé et entendu toute la scène, se dépêchèrent d'ouvrir la porte pour accourir vers leur fille. Mais les scientifiques les retint, en leur disant qu'il s'agissait d'une étape indispensable à passer, qu'il ne fallait surtout pas l'interrompre. Mais Jack refusait de regarder sa petite fille souffrir ainsi, les bras croisés. Il poussa les scientifiques et courut vers April. Et alors il stoppa net. Quelque chose de très étrange se produisit.
Le corps d'April changeait. Il grandit, puis rétrécit, puis grossit, puis s'amincit, puis grossit de nouveau. Les bras s'allongeait, se raccourcissaient, la tête gonfla, se dégonfla, les pieds s'agrandirent puis se rapetissèrent. Et la petite continuait de hurler, avec une bouche qui ne cessait de s'élargir ou de se rétracter.
Mary s'évanouit. Jack resta pétrifié, la bouche béante. Les scientifiques, eux, se hâtaient d'aller aux machines, règlant des paramètres, allumant ou éteignant des boutons, changeant l'ordre des fils... Mais rien ne sut arrêter la crise d'April. Alors on éteignit tout. Le corps d'April continua pendant quelques secondes de se transformer, puis s'arrêta enfin. La petite cessa de hurler et de se débattre. Son visage était mouillé de larmes, ses cheveux lui collaient aux joues. Elle avait repris une taille plus ou moins normale. Jack s'approcha d'elle et la prit dans ses bras, en la berçant, et en lui murmurant des phrases rassurantes.
***
Depuis ce jour, la vie d'April devint un cauchemar. Ses crises recommençaient plusieurs fois par jour et par semaine. Chaque fois qu'elle se rappelait de l'immense douleur dont elle avait souffert lors de ces tests dans le laboratoire, elle se mettait à hurler, et son corps changeait sans cesse. Ses parents ne savaient plus quoi faire. Ils accusaient les scientifiques d'être à l'origine de ces crises, et hésitèrent même à se plaindre. Ils le firent, mais on leur dit que, n'ayant aucune preuve de ce qu'ils avançaient, on ne pourrait pas faire grand chose. Alors Jack et Mary décidèrent de vivre avec.
Mais la vie était de plus en plus insupportable. Parfois, April avait des crises dans des lieux publics. Et les passants la regardaient comme on regarde une folle, ce qui déplaisait toujours aux parents, qui eux pensaient le contraire. Ils devinrent très protecteurs envers leur fille, refusant de la laisser seule quoi qu'il arrive. Sauf que rester toujours avec elle était impossible. Jack et Mary devait continuer leur travail, et April devait aller à l'école. Et c'était justement à l'école qu'April souffrait le plus.
L'école était l'endroit qui lui faisait penser le plus au laboratoire de ses souvenirs. Et plus elle y pensait, plus ses crises se répétaient. Alors on se moquait d'elle, on se faisait des messes basses dès qu'elle approchait, on l'évitait comme la peste. Alors elle restait seule au fond de la classe, et pendant la récré elle jouait à l'écart, dans un coin, où personne n'approchait à plus de 20 mètres. Et pourtant, chaque fois, elle sentait les regards méprisants que tout le monde jetait sur elle. Le personnel de l'école, quant à lui, ne faisait rien pour l'aider. A vrai dire, même si aucun adulte ne se résignait à agir comme les autres enfants, il n'en pensait pas moins. Et lorsque chacun sortait la célèbre phrase « Surtout, si quelqu'un a un soucis, il faut qu'il vienne me voir. », April s'attendait constamment à entendre à la fin « Sauf lorsqu'il s'agit d'April, bien sûr. ».
Le problème, c'était que chaque souffrance qu'elle recevait s'ajoutait au souvenir du laboratoire. Et chaque jour, les crises étaient de plus en plus grandes et longues.
Alors ses parents décidèrent de lui changer les idées au moins une fois par semaine. Alors on l'emmena au zoo, au lac, à la piscine, à la campagne, à la forêt, au parc d'attractions... Cela marchait : Dans ces moments-là, April réussissait à oublier ce jour passé au laboratoire. Mais malgré tout, lorsque les divertissements s'arrêtaient, les crises recommençaient de plus belle.
Un jour, on l'emmena à la ferme. La petite avait alors 7 ans. Elle jouait, s'oubliant, avec les moutons, les chevaux et les chèvres. Elle caressait les doux pelages de chacun des animaux, ravie, ne pensant plus à rien, devant l'oeil heureux mais inquiet de ses parents. Puis elle alla voir la basse-cour. Elle tenta en vain d'attraper les poules qui couraient à travers le poulailler en poussant des Cot! À tout bout de champ. Et enfin, elle courut voir les lapins.
« Regarde Papa ! Celui-là, il est trop beau ! Je peux le caresser ? »
Jack sourit et hocha la tête. La petite, toute contente, attrapa délicatement l'animal et le posa dans ses bras. Il se laissa faire tranquillement. C'était un lapin albinos, au pelage blanc comme neige et aux yeux rouges comme sang. April passa une main sur ses poils. Il était tout doux ! On aurait dit une peluche ! L'enfant continuait de le caresser, quand soudain quelque chose de très étrange se passa. La petite sentit une sorte de... force invisible qui poignardait son cerveau en plein centre. Elle cria et relâcha le lapin par terre. Mais l'animal resta près d'elle. En fait, il ne bougeait pas d'un poil. Il avait les yeux grand ouverts, et les oreilles relevées. La sensation que ressentit la fillette était indéfinissable. Elle avait mal, mais en même temps elle se sentait bien. Elle avait l'impression que quelque chose s'ajoutait à son être, la complétait.
Cela dura une bonne minutes. Jack et Mary avait pris l'enfant dans leurs bras, inquiets.
« April, répond-moi, que se passe-t-il ? cria la mère.
- Ne t'inquiète pas mamounette, je vais bien, mais en fait c'est très bizarre parce que y a un truc bizarre dans ma tête. Et le lapin aussi. »
Les parents haussèrent tous les deux un sourcil. Mais que racontait-elle ? Ils cherchèrent alors le lapin. Mais il avait disparu. Il se sera enfui, bien sûr, pensaient-ils. Alors ils décidèrent de rentrer à la maison. Mais à peine avaient-ils fait demi-tour que le lapin réapparut. D'un coup. Comme ça. Pouf! C'était comme s'il s'était matérialisé devant leurs yeux. Tous crièrent. Sauf April. Elle tendit les mains vers le lapin, qui arriva sans hésitation. Elle le prit de nouveau dans ses bras et reprit ses caresses.
« Regarde Maman, il est tout joli ! Et ses yeux ils sont bizarres ses yeux. Ils sont tout rouges ! Tu sais, comme le diamant que tu m'avais montré à la télévision.
- Le... Le rubis ?
- Oui, c'est ça, c'est vrai. Hein pas vrai qu'on dirait des rubis ? Ils sont tout rouges en plus ! Moi si j'avais un lapin comme ça je l'appellerais Rubis. Oh, maman, on peut le prendre, dit ? On peut adopter le lapinou ? Comme ça je pourrais l'appeler Rubis ! »
Mais les parents refusèrent. Pour tout dire, le lapin leur faisait peur. Ils avaient déjà à supporter le caractère étrange de leur fille, alors si en plus ils ramenaient un lapin qui disparaissait et apparaissait d'un coup, c'était le comble ! Ça suffisait déjà bien assez comme ça.
Pourtant, ils n'eurent pas le choix. Lorsqu'ils firent demi-tour, ils se rendirent compte que le lapin suivait April. Ils tentèrent de les séparer. En vain. Les deux étaient inséparables. Alors ils durent se faire une raison. Ils achetèrent contre leur gré le lapin. Au moins, ils avaient eu de la chance. Ça aurait pu être une vache.
Dès lors, le petit lapin devint leur animal de compagnie, qu'ils appelèrent Rubis. Mais la complicité entre l'enfant et l'animal était telle qu'on aurait dit qu'ils étaient devenus les meilleurs amis du monde (ce qui, vu le nombre d'amis qu'avait la fillette, était tout de même fort possible), ou pire encore, qu'ils pouvaient communiquer entre eux. Depuis l'arrivée de Rubis, les crises d'April se firent plus douces et plus rares, mais elles existaient toujours.
***
Un jour encore, alors qu'April approchait de ses huit ans, des hommes étranges arrivèrent à la maison. Lorsqu'ils sonnèrent à la porte, c'est Jack qui ouvrit la porte. Les hommes l'assomèrent alors sans un mot, devant les yeux effrayés de la petite April et de sa mère. Alors, ni une ni deux, Mary se jeta sur le téléphone pour appeler la police. Mais les hommes ne lui laissèrent pas le temps. Ils l'arrêtèrent et l'assomèrent elle aussi.
« Maman ! » hurla April.
Les hommes s'approchèrent d'elle. Elle cria. Et malgré elle ses crises recommencèrent. Pourtant, aucun des hommes ne parut surpris de voir le corps de l'enfant se transformer autant. Ils empoignèrent elle mais aussi Rubis avec des bras de fer et les portèrent jusque dans une grande voiture noire, qui les emmena tous dans un endroit qu'April n'avait jamais vu auparavant.
C'était une grande bâtisse, isolé du monde, en plein centre d'une forêt immense. April, qui avait enfin arrêté sa crise, poussa un cri d'exclamation. Des gens entraient et sortait du bâtiment. Il y avait du monde.
On sortit la petite de la voiture et on la força à entrer dans l'établissement. Elle serra son lapin près de son corps.
C'est ainsi qu'April passa toutes ces prochaines années dans ce pensionnat très étrange, où tout le monde avait des pouvoirs tous plus bizarre les uns que les autres. Ce qui la rassurait, c'était qu'elle n'était plus une bête de foire comme elle l'avait été pendant toute son enfance. Là, tout le monde était pareil, ce qui l'aida à mieux s'intégrer aux autres. On ne la traitait plus comme une folle. Pourtant, ses crises avaient recommencé de plus belle. L'affreux souvenir de ces hommes assomant ses parents vint s'ajouter à celui du laboratoire. Heureusement, au fil des années, elle commençait à oublier peu à peu ces souvenirs, bien qu'ils restent toujours dans sa mémoire. Du coup, ses crises sont à présents bien plus rares, et moins importantes.
Elle a aujourd'hui 16 ans, et est lycéene en section physique. Rubis n'est rien d'autre que son Eeluts, et il a la capacité de devenir invisible.
* Le physique : Pour commencer, April ne connait absolument pas sa taille. Est-elle grande ? Petite ? Large ? Maigre ? A-t-elle des belles formes ? Ses bras sont-ils longs ? Ses jambes sont-elles courtes ? Ses yeux sont-ils petits ou énormes ? Impossible de savoir, car la jeune fille change de taille et de proportions chaque jour et à chaque nouvelle crise. Mis à part cela, elle a des cheveux blonds et ondulés, lui arrivant un peu au-dessous des épaules. Ses cheveux sont la seule chose dont la taille ne varie pas, chez elle. C'est pourquoi elle leur offre le plus grand soin chaque jour, en les coiffant tous les matins à n'en plus finir. Elle a des yeux bleus qu'elle maquille parfois, lorsqu'ils ne sont pas en train de changer de taille au moment où elle se passe du mascara. Elle a une peau un peu pâle, sur laquelle elle met quelque fois du fond de teint, sauf lorsque sa tête fait 3 mètres de diamètre et qu'elle a la flemme de tout teindre. Elle a une jolie bouche, qui ne change jamais de forme, bien qu'elle change toujours de taille. Enfin, elle s'habille élégamment. A ce propos, elle a d'ailleurs une garde-robe pleine à craquer de vêtements. Je n'exagère pas : Il y des vêtements pour toutes les tailles. Pourquoi ? Ben, parce qu'elle n'a jamais la même taille.
* Caractère : A première vue, et quand on ne la connait pas, April paraît être une jeune fille discrète et réservée, semblant fuir l'amitié des autres. Mais la vérité, c'est juste qu'elle ne veut jamais faire le premier pas. Elle a toujours besoin que ce soit les autres qui viennent à elle, et non l'inverse. Elle ne fuit pas l'amitié, non. Au contraire, elle l'accepte avec grand plaisir. Le seul problème, c'est qu'elle refuse toujours de la chercher elle-même. Et puis, elle a beau être timide envers les parfaits inconnus, elle est en réalité très sociable avec les personnes qu'elle connait et qu'elle aime bien.
April est une personne sage et calme, qui refuse toujours de faire quelque chose de mal. Elle essaye toujours de rester bien élevée et polie, même quand elle se trouve être de mauvaise humeur. Quoique, dans ses moments-là, elle a quand même bien du mal à se retenir. Mais malgré tout, April reste une grande joueuse. Elle a toujours besoin de se divertir. Mais contrairement à certains, s'amuser est vraiment un besoin. Si elle ne se change pas les idées, les crises risquent d'apparaître. Il lui faut donc souvent sortir prendre l'air, ou jouer à n'importe quoi, tant que cela reste dans les règles.
* Avez vous déjà un compte sur notre fow ? : Nop'.
Comment avez-vous connu le forum ? With TDLFR <3 Grâce à Crème qui m'a passé l'adresse ^^.
Comment trouvez vous le fow ? Chouette.
CODE n°1 : //Validation à la Crème//
CODE n°2 : /Validation à la Crème :p//
Autres : (oui bon je me suis permise de rajouter ce champ hein x) ) Voilà je voulais juste dire deux trucs :
- Euh j'ai oublié ce que je voulais dire comme première chose.
- Je préviens que étant DE-BOR-DEE en ce moment, et que je n'arrive déjà pas à boucler mes RPs sur TDLFR (u_u), je ne pourrais pas RP autant que je le voudrais, donc j'aimerais limiter mes RP à un à la fois, pas plus. Du moins jusqu'à ce que je ne soit plus aussi débordée. Voilà désolée :/
- Ah oui j'ai retrouvé ce que je voulais dire pour la première chose : Si je comprends bien, les Eeluts, ce sont comme les Familiers de Tara Duncan mais avec un pouvoir en plus ? Et est-ce qu'on peut communiquer avec eux ? Ou pas du tout ?
Voilà <3
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Jeu 9 Fév - 9:24
